THE DEWEYS
THE DEWEYS

THE DEWEYS

PAYS
FRANCE

DPT

PYRENEES ATLANTIQUES

 

CATEGORIE

ALTERNATIVE COUNTRY

 

AGENT
CHRISTINE JAMMET

 

TOURNÉES

EN TRIO

Stéphane Andrieu : chant et guitare acoustique
Hervé Ferquel : chant et guitare électrique
William Saint-Jevin : Harmonica

Et en Quatuor
avec Gaël Bacqué: violon

ALBUM

ÉCOUTER

Au début de The Deweys, il y a l’envie commune de travailler à deux guitares (et autant de voix) et un harmonica, des standards rock, folk, pop en les revisitant à la lumière minimale d’une formation serrée. Le résultat est un déshabillage radical de titres taillés pour bien autre chose et qui prennent une couleur inattendue.

« Il y avait aussi, puisque nous sommes bibliothécaires, dans The Deweys, le clin d’oeil à Melvil Dewey, auteur de la classification décimale des documents du même nom adoptée dans les bibliothèques du monde entier.

Dans nos mémoires respectives résidaient et résonnaient les noms et œuvres de Johnny Cash, Nick Cave, Madrugada, Joe Henry, Devotchka pour s’aventurer un peu plus loin dans une Amérique plus sombre et s’enfoncer dans un genre autoproclamé : le western gothique.
Le confinement nous est tombé dessus au moment où nous allions entrer en studio et a changé la donne, par ce que nous avions le temps. Le temps de reprendre ces titres moins évidents, et très vite après une première session, le temps et l’envie de créer nos propres morceaux, d’écrire notre partition. ».

The Deweys enregistrent des maquettes dans lesquelles le silence prend tout son sens, en se frottant à des morceaux plus intimes, plus étirés aussi. Ils finissent par écrire leurs propres tires, inspirés de quelques figures tutélaires, de Robert Johnson à 16 Horsepower. Ils ont ralenti le tempo, cherché à retrouver l’atmosphère de leurs figures tutélaires, plongé dans le bayou et exhumé leurs fantômes. Le premier d’entre eux, The Lake, est une murder ballad que ne renierait pas Nick Cave ; le reste suit dans le même registre, parfois tendu, parfois solaire, toujours ancré dans une ambiance de clair-obscur propice au voyage intérieur. Car the Deweys l’ont bien compris, ce qui est important dans le voyage, ce n’est pas d’arriver à destination, c’est de voyager.

En deux sessions au studio Célestine (Pau), The Deweys enregistrent les 7 titres de leur premier EP « Silence as a friend », masterisé au New Alliance East Mastering, Sommerville, USA.
Et très bientôt, le nouvel EP … à suivre !

Quand Stéphane m’a donné « SILENCE AS A FRIEND », il m’a prévenu : Beaucoup de personnes l’écoutent dans la voiture. Ah, avec le progrès, tout pour écouter dans ma voiture, sauf un lecteur CD !
Aussitôt arrivée chez moi, j’ai écouté… et là, un véritable road-trip a commencé ! L’immersion est immédiate, tu roules ou tu galopes, tu es entré dans un film et tu vois défiler de vastes plaines désertiques, des cahutes, comme en plein western, et tu files tranquillement vers le bayou, un vrai road-movie où les acteurs ont de sacrées gueules qui parlent de la vie pas telle qu’on la rêve… la ballade est tellement envoûtante, qu’à la fin, tu le remets aussitôt pour repartir encore et encore !
THE DEWEYS sur scène ? Une présence, une simplicité superbe, un son… le voyage est assuré !

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